Soirée Pharmacie
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| Le CEPRIM en quelques mots Depuis novembre 2020, le CEPRIM a ouvert ses portes au CHU de Nîmes. Ce centre accueille des patients ayant un risque potentiel d’iatrogénie médicamenteuse. Un projet innovant qui vient compléter le dispositif de pharmacie clinique et la prise en charge médico-soignante existants au CHU de Nîmes. L’iatrogénie médicamenteuse désigne l'ensemble des risques induits par la prise des médicaments. Ces risques peuvent correspondre à des effets indésirables ou être liés à un mauvais usage, mais aussi peuvent venir de l’accumulation de prescriptions entre elles. Les risques d’iatrogénie liés aux médicaments sont souvent méconnus et sous-estimés. Pour donner un ordre d’idée, on considère qu’une hospitalisation sur cinq est liée à un problème médicamenteux. « En tant que pharmacien d’officine, votre rôle est crucial dans le repérage de l’iatrogénie médicamenteuse et la prise en charge des patients. Mais comment repérer ces patients ? Et comment les prendre en charge ou les orienter ? Nous vous proposons d’échanger autour de ces thématiques. » Dr Hélène Richard, pharmacien au CEPRIM |
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« Le CEPRIM a pour vocation de faire de la prévention primaire du risque Iatrogène médicamenteux, il y a donc un fort enjeu à identifier les patients à risque le plus tôt possible. La collaboration avec nos partenaires des CPTS est donc un enjeu majeur de réussite, nous attendons beaucoup de cette première rencontre avec nos collègues officinaux. » Dr Jean-Marie Kinowski, Chef du Pôle Pharmacie-Santé Publique du CHU de Nîmes. |
« L'URPS des Pharmaciens d'Occitanie accompagne les pharmaciens d'officine dans leurs nouvelles missions de prévention et de dépistage. Le bilan partagé de médication en fait partie, en permettant de sécuriser en ambulatoire la prise en charge médicamenteuse du patient chronique. L'équipe du CEPRIM permet, par un échange constructif et interactif, de renforcer le lien entre la Ville et l'Hôpital dans l'intérêt du patient ayant une prescription médicamenteuse complexe. Cela passe donc par la connaissance, par les professionnels libéraux, du travail effectué par le CEPRIM. » Dr Hélène Garnier, Présidente de l'URPS |
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