Une convention, signée entre le CHU de Nîmes, le CHU de Montpellier, l’Institut du Cancer de Montpellier, l’Université de Montpellier, l’INSERM et le CNRS, permet le financement et la mise en place d’un dispositif favorisant les échanges et le décloisonnement de la recherche entre ces structures, pour développer de nouvelles applications cliniques.

Concrètement, depuis la mise en place de ces CIR, fin 2023, les équipes de recherche du CHU de Nîmes reçoivent des chercheurs de l’INSERM, du CNRS, de l’Université de Montpellier et de l’Institut Mines Télécom d’Alès le temps d’une demi-journée par semaine.

Ce temps de partage et de « travail ensemble », entre structures académiques et hospitalières, repose sur une démarche pluridisciplinaire. Il renforce les liens entre la recherche fondamentale et la recherche clinique, dans l’objectif d’assurer un transfert efficace des connaissances et innovations développées en laboratoire vers la clinique.

Pour le lancement des Contrats d’Interface Recherche, quatre projets ont été retenus :

l’évaluation de l’adaptation du système français de soins critiques aux futures pandémies (avec l’Université de Montpellier)
la mise en place de biomatériaux polymères pour la conception de dispositifs médicaux dégradables innovants (avec l’Université de Montpellier)
l’identification de nouveaux bactériophages pour le traitement des plaies du pied diabétique (avec le CNRS et l’INSERM)
l’optimisation de la radiothérapie interne vectorisée en clinique via l’Intelligence artificielle (avec l’IMT Mines Alès).