Foire aux questions
Consultations et Hospitalisation
Avant toute consultation ou examen, vous devez établir un dossier administratif et obtenir des étiquettes.
Selon le cas, il vous faudra vous rendre au bureau des entrées de l'accueil central ou dans les bureaux décentralisés selon le service où vous devez vous rendre.
Il est important de vérifier l'exactitude des renseignements portés sur l'étiquette.
Muni de ces étiquettes, vous pourrez ensuite vous rendre sur votre lieu de consultation.
Les documents nécessaires à l'établissement de votre dossier
- Vous devez nous présenter les pièces suivantes :
- Votre Carte d'identité en cours de validité
- Votre Carte vitale avec attestation d’affiliation à l’assurance maladie
- Votre Carte de mutuelle en cours de validité ou attestation de CMU complémentaire
- Tout document justifiant d'une situation particulière : carnet de soins pour les personnes pensionnées de guerre, carnet de maternité, feuillet d'accident du travail, ordonnancier, attestation d'A.M.E, Aide Médicale d'État.
Avant toute hospitalisation, vous devez vous présenter au bureau des entrées afin d’établir un dossier administratif et obtenir des étiquettes.
Vous remettrez ensuite ces étiquettes au service de soins, elles sont nécessaires à son bon fonctionnement.
C'est pourquoi il est important de vérifier l'exactitude des renseignements portés sur les étiquettes.
Les documents nécessaires
Vous devez nous présenter les pièces suivantes :
- Votre Carte d'identité en cours de validité (Carte nationale d'identité, passeport, livret de famille),
- Votre Carte vitale avec attestation d’affiliation à l’Assurance Maladie,
- Votre Carte de mutuelle en cours de validité (ou attestation de CMU complémentaire),
- Tout document justifiant d'une situation particulière : carnet de soins pour les personnes pensionnées de guerre, carnet de maternité, feuillet d'accident du travail, ordonnancier, attestation d'A.M.E, Aide Médicale d'État.
À l'aide de l'annuaire des Pôles qui composent le CHU de Nîmes, retrouvez le pôle ou le service qui répond à vos besoins.
La pluralité des services et la taille de l'établissement qui en découle sont parfois difficiles pour les visiteurs.
À l'aide de l'annuaire des médecins, retrouvez le médecin référent de votre service.
Il existe deux possibilités pour régler ses soins.
- Procéder au paiement en ligne sur PayFip.gouv.fr
Procéder au paiement directement au CHU.
Rendez-vous à la trésorerie située au bâtiment polyvalent du site Carémeau. Il suffira de vous présenter avec la référence du titre, soit l'avis de somme à payer. Les trois modes de paiement sont disponibles : carte bancaire, chèque ou espèces.
Informations pratiques
- L'Hôpital universtaire Carémeau
- L'Institut de cancérologie du Gard - (ICG)
- La Clinique psychiatrique
- Le Centre de gérontologie Serre Cavalier
- L'Hôpital universitaire de réadaptation, rééducation et addictologie au Grau-du-Roi
- L'Institut de formation aux métiers de la santé (IFMS)
Autres structures
Se rendre au CHU depuis le centre ou la périphérie de Nîmes en transports en commun est tout à fait possible.
La ligne de tramway T2 dessert le centre hospitalier.
L'établissement hospitalier universitaire est vaste et se doit d'assurer des places de stationnement pour les visiteurs comme pour le personnel soignant.
Au CHU de Nîmes, 2760 places de stationnement distinctes sont réservées :
- au personnel hospitalier
- aux visiteurs.
Le stationnement visiteur, payant, est de l'ordre des 30 premières minutes gratuites puis ensuite de 0.10 à 0.60 cts d'€ le quart d'heure en fonction du moment de la journée. et jusqu'à 12,60 € pour 12 heures de stationnement. Vidéo-surveillance et rondes permettent de garantir la tranquillité des usagers.
Des places réservées aux les personnes en situation de handicap sont disponibles sur toutes les zones de stationnement.
- Centre Hospitalier Universitaire de Nîmes
Standard : 04 66 68 68 68 - Hôpital Universitaire Carémeau
Accueil administratif : 04 66 68 34 09
Accueil service urgences : 04 66 68 33 44 - Centre de Gérontologie Serre Cavalier
Accueil/renseignements : 04 66 68 40 75 - Hôpital Universitaire de Réadaptation, de Rééducation et d'Addictologie du CHU de Nîmes au Grau-du-Roi
Accueil : 04 66 02 25 00 - Centre de Formation - IFSI
Accueil : 04 66 68 69 10
Droits et informations
- L'information
- La confidentialité
- Le respect de sa dignité et de son intimité
- Le soulagement de sa douleur
- La désignation d'une personne de confiance
- La prise en compte des directive anticipées
- L'accès à son dossier médical
Oui. Depuis 2002, la prise en charge de la douleur est obligatoire.
- Le patient
- Tous les professionnels en charge du patient
Oui.
Par exemple, des douleurs aiguës (limitées dans le temps) et des douleurs chroniques (sur la durée). On retrouve aussi des mots pour décrire la douleur ressentie (vive, pulsatile, irradiante)
Non. Des techniques comme l'hypnose, la physiothérapie ou la relaxation fonctionnent aussi.
Tout le monde est potentiellement donneur.
Depuis 1976, toute personne décédée et considérée comme donneuse d'organes sauf indications contraires de sa part.
Oui. Ce principe connaît une seule exception : en cas de risque de contamination d'autres personnes.
Oui.
Tout patient peut demander l'accès à l'ensemble des informations de santé le concernant. Vous êtes propriétaire de votre dossier médical !
Oui,
Mais les documents sont détruits au bout d'une vingtaine d'années (sauf pour des cas très particuliers).
Le patient doit régler les frais de reproduction (photocopies, CD-Rom) et les éventuels frais d'envois, qui sont précisés lors de la demande
Via une demande adressée au Directeur Général du CHU pas courrier ou formulaire en ligne
Faire connaître ma volonté si je ne suis plus en mesure de m'exprimer
De nouvelles directives anticipées peuvent être données n'importe quand.
Les directives anticipées sont valables de manière illimitée
- Le patient, sa personne de confiance, le médecin traitant
- Le dossier médical
Non, mais l'hôpital est dans l'obligation d'informer les patients de cette possibilité
Le patient majeur.
S'il est sous tutelle, une décision du juge (ou du conseil de famille) autorisant la rédaction des directives est nécessaire.
Je suis le "porte-parole" du patient lorsqu'il ne peut plus s'exprimer. Mais je ne peux pas prendre de décisions à sa place.
Je peux aider, accompagner, assister la personne hospitalisée car je connais ses positions et ses souhaits concernant son état de santé.
Le patient que j'accompagne a confiance en moi !
Par écrit, en précisant : nom, prénom, adresse, moyen de communication (numéro de téléphone, etc.).
- La personne de confiance peut être changée à tout moment.
- Je ne suis pas obligé d'en désigner, mais l'hôpital est obligé de me demander si j'en ai une
- La personne de confiance doit accepter cette désignation
Ne pas confondre de "confiance" et à "prévenir".
Les rôles ne sont pas les mêmes :
- La personne de confiance gère les aspects médicaux pour le patient (assister aux examens, transmettre les directives anticipées)
- La personne à prévenir gère plutôt les aspects administratifs et logistiques (ramener des vêtements, nourrir les animaux)
Cependant, il peut s'agir de la même personne !
Toute personne majeure (hors tutelle) peut désigner sa personne de confiance librement.
Si le patient est d'accord, le secret médical est "accordé" à la personne de confiance, qui peut assister aux rendez-vous médicaux. Mais, comme pour les soignants, la personne de confiance doit alors respecter ce secret médical.
Le consentement du patient
Pour pouvoir consentir aux soins, c'est-à-dire les accepter, je dois :
- Être informé sur mon état de santé et la proposition de prise en charge
- Avoir compris l'information donnée
- Être libre de décider, sans pressions ni contraintes extérieures
Oui, à tout moment. Toutefois, les professionnels ont l'obligation de m'informer des conséquences potentielles de mon refus de soins.
Hors urgence vitale, les professionnels de santé se rapprocheront :
- De la personne de confiance, de la famille ou des proches (dans cet ordre),
- Du tuteur si une mesure de protection juridique est en place
Dès lors que son âge et sa "maturité" le permettent, son consentement doit systématiquement être recherché. Il peut également bénéficier, à sa demande et dans certaines circonstances, de la confidentialité des informations le concernant.